♠ Nous sommes tous à la recherche de cette personne unique qui nous apportera ce qui manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n'a plus qu'à prier pour que ce soit elle qui nous trouve ♠


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Zayne Keegan Reilly

Hé, toi ! Viens par là pour que je te dise que je suis ! Alors je m'appelle Zayne Keegan et Reilly. J'ai actuellement 24 poussière d'étoile derrière moi. Oui parce que le 21 décembre 1986 est la date où on me vénèrent chaque année. Et Oxford est la ville qui a eut la chance de me voir naître. Je suis actuellement célibataire. Ce que je fais dans la vie ? C'est bien simple je suis un fils à papa qui profite de l'héritage. A Los Angeles je suis simplement un sugar daddy.

Qu'est-ce que la vie? Que signifie cet assemblage disparate, et parfois sans logique, d'évènements ? Quel piètre philosophe je dois être avec mes phrases à deux balles et mon manque flagrant d'émotion que j'ai face à ces phrases qui pourraient pourtant en toucher plus d'un. Je ne suis pas un coeur tendre, j'aime à manipuler mes petits soldats comme lorsque j'étais enfant à fixer les pions de mon jeu d'échec se déplacer lorsque mon père les bougeait. En réalité je me pose une question. Une vrai question. De ces questions qui n'ont pas de réponse, mais qui nous aide à nous trouvé. Quel est cette différence qui existe entre vous et moi ? Je veux dire. Mis à part l'opulence, la richesse, la gloire même ! Que sais-je ? Qu'est ce qui nous différencie ? Le nombre de zéro sur ma carte visa, l'équivalant de votre salaire mensuel que j'ai écoulé en une journée ? Vous êtes perdu, je vous montre le chemin. Je fais partie de cette jeunesse doré que vous exécré. J'incarne la perfection, la beauté, la richesse, la gloire. Tout ce que vous désirez. Mais dans le fond, je suis comme vous. Perdu au milieu d'une route sans panneau pour savoir où je vais. J'ai juste droit au chaîne en or pour me contenter de cette liberté conditionné.

Ma mère Kendra est tombé amoureuse du désormais puissant et riche à million monsieur Karl Reilly. Cependant dans leur début ça n'a pas été si simple. Ma mère venait d'un milieu aisé. Ce même milieu qui me pourrit petit à petit, jour après jour un petit plus. Elle savait ce que c'était d'être né avec une cuillère en or dans la bouche mais de désiré plus. Vouloir avec véhémence cette liberté qu'on nous prend dès lors que l'argent devient la première chose. Le seul centre d'attention. Enfin, Kendra malgré son milieu quitta tout pour se marier au pauvre assistant qu'était à l'époque mon père. Elle quitta tout, l'argent, le luxe, les robes hors de prix. Toutes ces choses dont le monde rêve et qui nous paraît pourtant terriblement normale à nous gosse de riche. Enfin. Ils se marièrent, eurent beaucoup d'enfants et une vie heureuse. A cela prêt qu'ils n'eurent qu'un enfant et que le bonheur n'est pas toujours au rendez vous. Mon père finit par ferme fortune dans l'immobilier fondant une entreprise désormais connu dans le monde entier, créant un monopole d'une puissance incontesté sur cette part du marché.

Je naquis en Angleterre. Dans la ville d'Oxford pour être plus précis. Ma mère qui avait passé par toutes les étapes de la vie attendait avec impatience le grand moment. Ce doux instant où elle aurait la joie de donné la vie. C'est là que j'entrais en jeu après neuf mois passé à rien faire dans le ventre de celle-ci. Après de longues et interminables heures passée à souffrir le martyr, elle me donna naissance. En ce 21 décembre placé sous le signe de cette neige qui ne quitta l'Angleterre que deux mois plus tard. Je suis né sous le nom complet de Zayne Keegan Reilly. Dans mes premiers instants j'étonnais le monde entier, ou en tout cas la foule de médecin pressé autour de moi. En effet, ils avaient beau tenté de me faire poussé un premier cri, je n'émettais aucun son. Comme mu par un désir inconscient de prouver que j'étais le plus fort. Que tant que je le désirerais je ne crierais pas. Mais après de longues minutes d'inquiétude pour eux et d'un jeu borné pour moi, je finis par le poussé ce cri. A plein poumon, mes petits bras bougeant comme si je me battais face à un ennemi invisible. C'était mon premier pas dans la vie. Un saut à pieds joint que je faisais sans m'en rendre compte. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver et peut-être que je me serais rétracté si je l'avais su. Mais avec des si on peut mettre Paris en bouteille à ce qu'on dit. Et à l'époque j'agissais plus par instinct que par réelle réflexion.

Mon enfance est un passage privilégié de ma vie. Ce sont ces instants de réelle éternité que j'ai précieusement conservé en mémoire et que j'espère à jamais gardé avec moi. C'est seulement à cette période de la vie qu'on croit en tout, qu'on espère pour un rien et que la vie nous suffit. J'aimais à courir dans l'énorme jardin qui bordait la maison. J'aimais suivre les papillons jusqu'au petit lac caché derrière quelques bois à côté de chez moi et m'inventé une vie. Un autre monde. Cependant malgré tout cela, ce ne fût pas qu'une partie de plaisir. Loin de là même par moment. Ma grand-mère maternelle se plaisait à dire que j'étais un parfait gentleman et qu'avec mon petit costume je faisais déjà tombé toute les petites filles sous mon charme. Sincèrement, j'aimais ces instants passé sous les feux des projecteurs. Ça me plaisait réellement de sentir les regards émerveillé sur mon passage et celui de mes parents. Nous n'étions pas n'importe qui, je le savais et j'en jouais. Ce fut pour cette raison même que je fus grondé par ma mère à plusieurs reprise. Elle ne voulait pas d'un enfant vantard, hautain et égocentrique. Justement, elle m'apprenait à être humble, m'obligeait à faire des tâches dont les autres enfants de mon âge et de ma classe social étaient exempt. Je m'occupais de rangé ma chambre, faire la vaisselle etc. En plus de cela elle m'inculqua sa passion de la littérature française ainsi que de la musique. J'apprenais avec une envie avide toujours plus de chose. J'aimais réellement cela. Savoir c'était pouvoir. Et j'aimais le pouvoir, cette force que celui-ci donnait à qui le possédait. Le pouvoir exerçait une véritable fascination sur moi et je rêvais de l'obtenir. Mon enfance fût placé sous le signe de la bienséance, du savoir et de l'apprentissage. J'ai étudié longuement le français en compagnie de ma mère qui appréciait avec délice cette langue. J'appris la vie dans cette étrange communauté fermé des gens fortuné. Mais plus que tout cela, j'appris l'art de la musique. La guitare, la batterie, le chant. J'appréciais tout cela. Cependant je ne le partageais pas. Dans les soirées qui nous étaient offerte par cette chère société de gens bourré du fric et qui n'avaient rien d'intelligent à en faire. Je n'avais d'autre besoin que d'être parfait, sous tout angle. Un léger sourire, des cheveux laqué, un costume sur mesure et sans un faux plis. Ce qu'il y avait derrière cette image ne signifiait rien, je ne le compris que bien plus tard. Bien trop tard.

Je grandis. Les années passèrent, défilèrent sous mes yeux sans que je ne m'en rende compte. Toujours en voyage, je ne connu par réellement le Karl Reilly de l'époque. Cependant j'avais l'impression qu'il tentait d'instauré un contact. Mais il n'y arrivait pas. Ainsi nous avons grandit chacun de notre côté sans plus d'intérêt l'un pour l'autre. Ma mère présente me suffisait. Elle m'enseignait, me donnait le goût à tout, l'art, la culture, l'histoire. J'aimais tout ça et j'aimais surtout passé du temps avec elle. Cependant, lorsque j'eu 13 ans tout changea. On se serait cru dans un mauvais film de série B. De ceux que les pauvres regardent en s'imaginant à la place des héros avec de l'argent etc. Enfin, tout ça pour expliquer qu'elle était morte. C'est dur à exprimer, dur à expliquer. J'ai l'impression d'être un monstre sans coeur en pensant à la chose ainsi. Cependant il n'y eu pas plus de cérémonie alors qu'elle mourrait. Elle m'emmenait à Londres pour que nous passions l'après midi dans les magasins lorsque dans le trajet à cause des fortes pluies due à la saison. Je ne saurais dire qui a perdu le contrôle. La sublime berline immatriculé au nom de l'entreprise de mon père, où le 4X4 qui roulait juste à côté de nous. Tout ce dont je me souviens c'est du bruit horrible des pneus qui crissent et des yeux de ma mère qui plongeait son regard dans le mien. J'étais trop jeune. Trop immature, trop perturbé que pour comprendre ce qui c'était passé lorsque je me suis réveillé seule dans une chambre d'hôpital tout confort. Je n'avais quasiment pas été touché. Juste une cicatrice sur mon torse qui ne disparaîtra jamais. Il eu des funérailles, de sublimes funérailles. Tout le monde pleurait, tout le monde s'en voulait de ne pas avoir assez profité de l'instant présent avec Kendra. Tout le monde était ému, mais moi j'étais impassible. J'étais perdu. Je n'ai rien compris. J'ai juste passé trois jours sans rien avaler amorphe et sans aucun sentiment.

Décadence, décadence, décadence. Bien loin de la grandeur promise. J'avais 13 ans. J'étais prêt à faire s'agenouiller le monde à mes pieds. Mais au lieu de ça je me suis retrouvé au plus bas. Bien loin de la grandeur qui m'avait été tant chanté dans ces contes aux héros fantastiques. Mon père pour le bien de son entreprise et soit disant pour le mieux me fit déménagé. Je passais alors de mon Oxford chérie à celle qui me paru au début pour une froide amante sans coeur. En effet, je suis arrivé à L.A. avec pour seule désir et objectif de connaître ce monde de la nuit qui m'appelait tant. C'est ainsi que je rentrais dans la vie nocturne de la ville a peine âgé de 13 ans, prêt à tout et sans aucune limite ni parents pour l'arrêté. J'ai donc commencé à sortir, à boire, j'ai même touché à la cigarette, à la drogue parfois. Tout ça pour me sentir vivant, pour faire comme les autres, pour voir ce qu'ils allaient faire, jusqu'où ils pouvaient chuter. J'appris à comprendre l'humain. A le manipuler, l'utiliser à mes fins et arrivé à agité les billets lorsqu'il le fallait. En parfait gosse de riche je ne sors jamais sans mon téléphone dernière génération. On me voit partout où quelqu'un de mon rang doit être vu et avec le temps j'atteignis un âge où il fallait avoir quelqu'un à son bras pour paraître bien. Trop coureur de jupon, je ne pouvais pas amener chacune de mes conquêtes à toutes ces conférences que mon père m'obligeait à suivre, à ces galas de charité et autres fêtes hypocrites qui m'ennuyait à mourir. Il est dur pour quelqu'un comme moi de se trouver une fille prête à l'accompagné à chacune de ces barbantes soirées. Surtout que ma réputation de joueur invétéré et de coureur de jupon me précède partout où je me rends. Je suis plus pourtant, tellement plus. Si on enlevait la couche de maquillage. Ce vernis horrible qui donne cette impression aux pauvres gens que notre monde est tellement plus beau. Pourtant, derrière le masque, derrière la couche écaillé de ce vernis si parfait ne se cache rien. Le vide. L'antipathie. On sourit, on s'offre de vaines paroles sans but ni sans raisons et on fait semblant de s'apprécier. Une soirée encore. Une de plus. Après ça, on enlève notre cravate, défait le premier bouton de notre chemise puis on s'envoie en l'air avec la première imbéciles qui passe. On se fou de la poudre plein le nez et on se retrouve complètement abruti le lendemain matin comme si rien ne signifiait plus rien. Seulement, je ne suis pas que cela. Je ne suis pas qu'un piètre et vulgaire héritier qui n'a jamais travaillé de sa vie. J'aimerais qu'on le comprenne. Que quelqu'un lise dans mes yeux que derrière cette carapace d'antipathie et d'orgueil se cache quelqu'un qui est blasé par tout. Ne ressent plus aucun plaisir à sa vie et attend de recevoir cette impulsion qui redonnera des couleurs au ciel.

Je suis devenu Sugar Daddy non sans raison. J'ai une image à avoir. Je dois pouvoir être respecté par mes aînés et être accompagné par une jolie demoiselle fait toujours mieux dans ce genre de soirée, conférence ou rendez vous. Seul petit problème, je ne suis pas fait pour me mettre en couple. Je ne crois pas réellement en l'amour. Il promet le ciel pour vous abandonné en ne vous offrant que cet horrible arrière goût amer en tant que souvenir. Alors, les relations sérieuse et moi ça fait deux. C'est ainsi que je me suis dégotté en quelques sortes une jolie fille que je loue contre ses services. Je la paye pour qu'elle s'affiche avec moi en soirée sans rien lui demandé de plus. Je lui offre les tenues, les bijoux. J'use une petite fortune à cela, mais je m'en fou. Je n'en ai jamais eu rien à faire. L'argent n'est pas un problème. Le vrai problème c'est lorsqu'il ne s'agit plus que d'argent. Que les sentiments se mêlent à tout cela. Mes yeux posé sur elle il m'arrive parfois d'oublier le monde. De redécouvrir cette flamme, pourtant éteinte, en moi qui palpite à cause de son regard. Troublant, envoûtant, tentant. Pourtant elle à un petit ami. Son Adonis, mais lorsque nous passons des soirées à parlé de tout et de rien. Moi lui louant la chaleur d'une compagnie, d'une voix, d'un regard, elle me racontant des anecdotes sur tout, sur rien. Il m'arrive de croire que tout cela est réel. Et non dicté par cette argent sali à cause des années, à cause de ce que j'en faisais. Alors, les temps sont dur. Perdu sur le chemin, je ne saurais dire où j'en suis. Je place mes pions sur l'échiquier géant que la vie m'offre, comme ce petit échiquier de poche que je sortais à chaque fois que je le désirais enfant.. Je place chaque personne comme un bon petit soldat qui me servira au moment voulu. Cependant, je n'arrive plus à touché à la reine. Celle-ci étant pourtant un futur gambit lorsque le jeu avait démarré.

votre pseudo a écrit:

♣ âge : 16
♦ où as-tu connu le forum: Prd
♠ comment le trouves-tu: Gros coup de coeur !
♥ avatar: Ed Westwick
♣ un dernier mot ?