On était tellement silencieux dans la voiture. C’était même gênant d’être autant calme. D’habitude, j’aurais trouvé quelque chose à dire, mais cette fois-ci. Rien ne me venait, j’avais sans doute l’impression qu’il me cachait quelque chose. Même si je ne sais pas pour, j’ai cette impression, c’est surement parce que son regard sur mes jambes m’avait rendu un peu mal à l’aise. Je savais qu’il me trouvait jolie, mais je ne doutais pas une seconde qu’il pourrait être amoureux de moi. Enfin bref, on arriva rapidement vers son immeuble. Il alla se garer et quand il se stoppa, il me regarda en me disant « Tu as une idée de film pour ce soir ? » je souriais, je n’avais pas vraiment d’idée de film, normal après tout. J’avais envie de regardé un film romantique, puis me vient l’idée de regardé happy ever afters, c’était un film très bien, enfin c’est ce qu’on m’avait dit. Je le regardais et lui répondit « Si tu as le film, happy ever afters, ça serait bien, ça fait longtemps que je n’ai pas regardé une comédie romantique. » Je souriais encore une fois. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais tendance à sourire en sa présence. Il était ma dose de bonne humeur, si on peut dire. Puis après on sortie de la voiture et on se dirigeait vers l’ascenseur, je sentais qu’il avait un malaise entre nous deux, mais pourquoi ? J’en aie aucune idée. Puis en attendant que l’ascenseur arrive, il me demanda « Ta journée s'est bien passée sinon ? « toujours autant souriante, essayant de ne plus montré que j’étais un peu gênée, je lui répondis «  Une journée de cours, quoi de plus banale. J’ai beaucoup aimé le thème qu’une prof nous à demandé de faire en dissertation, mais sinon une journée normal et toi ? «  Puis on rentrait dans l’ascenseur. Pourquoi ce n’était pas comme à notre habitude ? Quelque chose avait changé, mais quoi. Après environ vingt seconde dans l’ascenseur, il se stoppa à l’étage où habitait Nate et on se dirigea vers sa porte.

Pour la première fois depuis quelque temps, il y avait un malaise entre nous. Pourtant, j’en connaissais la cause. C’est pas parce qu’il a regardé mes jambes qu’il devait être mal à l’aise, bien au contraire. Ça ne me dérangeait pas, peut-être il pense que je le prendrais mal. Il se trompe tout à fait. Puis, on était dans l’ascenseur, j’attendais impatiemment qu’il s’arrête car je détestais resté trop longtemps enfermé. Puis, il se stoppai à l’étage voulu et je me dirigeais vers sa porte. Quelque seconde plus tard, il me disait « Bof, pas grand chose. Mon père voulait me voir pour essayer de me faire jouer dans un film. J'ai refusé comme d'habitude. » je le regardais en souriant, il n’était pas comme tous ces gosses de riches. La preuve, il voulait pas joué dans des films alors que j’en suis sur qu’il aurait était pris. Il est tellement beau et j’en suis sur qu’il a du talent. Je répondis avant de rentré dans son appartement « Comme d’habitude alors. Je te promets qu’on passera une bonne soirée, tu en as particulièrement besoin, on dirait. «  Oui, j’étais comme ça. Et je voulais qu’on arrête d’être mal à l’aise. Il ne s’était rien passé de grave. Alors pourquoi ce mal être. J’en avais aucune idée. Puis, je rentrais dans l’appartement, je connaissais très bien car je passais la plus part du temps, mes journées ici. Et ce soir, on avait décidé de regarder un film romantique. Ce qui est rare, c’est qu’avec Nate, il en disait rien pour ça. Alors que beaucoup de garçon n’aurait pas accepté de regardé un film à l’eau de rose. C’est tellement ennuyant pour eux, mais il me faisait toujours plaisir pour sa. Puis, il me disait « Assied-toi et regarde si tu trouve le film. Je vais chercher du pop-corn. « je voyais bien qu’il n’était plus comme avant et ça me faisait un peu bizarre, j’hochais la tête pour simple réponse et je me dirigeais vers le salon, cherchant le dvd que je voulais. Je le trouvais quelque seconde plus tard, en même temps, il revenait de la cuisine, il me disait « Tu as trouvé. » Il me demandait, si je l’avais trouvé, je lui montrais le dvd avant de le mettre dans le lecteur et de cherché la télécommande qui va avec. Puis, je me dirigeais pour m’assoir sur le canapé, même s’il taponnait sur le canapé pour que je m’assois très près de lui. Je souriais et je m’installa à coté de lui et j’appuyais sur le bouton play et le film commença. J’avais posé ma tête sur son épaule et je mangeais quelque fois des pop corn en étant intéressé au film.