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 ISEULT ♣ Cette fois elle n'a pas eu besoin de philtre pour tomber amoureuse

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ISEULT ♣ Cette fois elle n'a pas eu besoin de philtre pour tomber amoureuse Empty
MessageSujet: ISEULT ♣ Cette fois elle n'a pas eu besoin de philtre pour tomber amoureuse   ISEULT ♣ Cette fois elle n'a pas eu besoin de philtre pour tomber amoureuse EmptyVen 20 Aoû - 23:41



♠️ Sometimes you need to step outside, get some air, & remind yourself of who you are & where you want to be. ♠️


made by pulp
PUMKINE ISEULT FITZGERALD
Hé, toi ! Viens par là pour que je te dise que je suis ! Alors je m'appelle Pumkine Iseult Fitzgerald. J'ai actuellement vingt-deux poussière d'étoile derrière moi. Oui parce que le quinze avril mille neuf cent quatre-vingt huit est la date où on me vénèrent chaque année. Et San Fransisco est la ville qui a eut la chance de me voir naître. Je suis actuellement en couple. Ce que je fais dans la vie ? C'est bien simple je suis étudiante en histoire de l'art. A Los Angeles je suis simplement un(e) sugar baby.

where did you read my story?


Pumkine. Non mais quels parents censés peut être assez bête pour appeler leur fille Pumkine ?! Combien de fois j’ai eu droit à des « Salut pumpkin ! Bientôt halloween ! » Pourquoi croyez-vous que je déteste ce prénom, et que j’utilise mon deuxième ? Enfin on ne peut pas dire que ce dernier soit très glorieux non plus. Iseult. Est-ce que j’ai une tête à boire un philtre d’amour ? Le pire je crois, c’est au collège quand on a dut étudier « Tristan et Iseult » en cours. Ca y allait aussi sur les sous-entendus bizarres et gamins. Merci beaucoup maman d’avoir cru que ce prénom allait « me porter bonheur sur le plan sentimental. » Alors la cerise sur le gâteau, c’est sans doute mon nom de famille. Fitzgerald. Oui oui, comme le président Kennedy. Enfin encore heureux qu’il n’avait pas Fitzgerald en nom de famille, parce que là. Déjà que la plupart de mes camarades me demandaient sans cesse si j’avais un quelconque lien de parenté avec lui. Vous l’aurez compris, je m’appelle Pumkine Iseult Fitzgerald. Un nom aussi extravagant que débile, à mon humble avis. Ca pour avoir de l’originalité, ils en ont eu mes parents ! Enfin bref. Je suis née à San Francisco, oui je suis une californienne pure souche. J’y ai vécut toute mon enfance, et toute mon adolescence jusqu’à mes dix-huit ans. Là, mon père fut muté à Los Angeles, et toute ma petite famille dut le suivre, bien qu’on devait tout laisser dernière nous. D’accord, prendre l’avion tous les jours, c’est chiant et c’est cher. Oui parce que voyez-vous, je n’ai pas eu la chance de tomber dans une famille richissime. Non, notre quotidien à nous c’est de finir les restes pour éviter de gaspiller de la nourriture, à faire du lèche vitrine devant les boutique de luxe sans pouvoir y entrer et y acheter quelque chose, ou encore renouveler notre garde robe nous-mêmes à grand coups de ciseaux et de ficelles. Je suis d’une famille plutôt modeste, donc l’argent servait surtout à nous nourrir, payer le loyer et les factures. Bon, nous n’étions pas pauvres au point de vivre sous les ponts, mais disons que notre situation était stable sans qu’elle soit au plus haut point de la société. Enfin bref. Nous quittâmes donc San Francisco pour Los Angeles, et je commençais mes études d’histoire de l’art. Oui, j’ai toujours été passionnée par ce qui est dessin, tableaux et autres, dessinant moi-même assez bien. Je vivais ma petite vie tranquillement, sans rien ne demander à personne, et mes parents me dénichèrent rapidement un petit appartement pour que je puisse avoir l’indépendance que je désirais depuis longtemps. Je me pris un petit job à mis temps de vendeuse en produits cosmétique. Bon j’avoue, ce n’est pas très reluisant comme travail, mais ça me permet de vivre, alors que demander de plus ? Et puis d’ailleurs, j’ai un autre job qui l’est encore moins. Mais laissez-moi raconter comment j’en suis arrivé à devenir une Sugar Baby.

C’était un soir de fête. Une fête dans laquelle je n’aurais jamais dut être invité. Mais avec une amie, nous nous sommes glissées dans la partie, juste pour s’amuser un peu. Oui, c’est un peu gamin, je vous l’accorde. Mais quand on a une vie aussi monotone que la mienne – avant – toutes les excuses sont bonne pour se marrer un bon coup. Nous étions dans la salle principale, ou plein de jeunes de notre âge en costards se baladaient avec leur petite-amie, vêtue d’une robe somptueuse que toutes les filles rêvent un jour de porter. Moi aussi j’étais habillée, mais d’une robe faites exclusivement par les soins de mon amie et moi-même. Loin d’être aussi belle que celles qui défilaient devant nos yeux. Et puis, je le vis. Ce garçon. Au départ, je le vis de dos, mais rien que sa silhouette avait quelque chose de plaisant. C’est quand il se retourna et que je vis ses yeux bleus sur sa peau légèrement doré, que je succombai entièrement à son charme. Il ne m’avait pas encore vu, mais je me sentais d’un ridicule. C’est vrai, que faisait une fille digne des pyjamas party avec ses copines, dans une fête aussi chic, avec une robe qui ne sortaient pas du tout du lot, qui touchait le fond de la médiocrité. Si j’avais pu me trouver un trou de souris dans lequel me cacher quand il croisa mon regard, je m’y serais réfugié sans hésitation. Heureusement, ma bouée de sauvetage fut mon amie qui me tira vers le buffet, là où l’attroupement était le plus abondant. Il n’y avait aucune chance pour qu’il retombe sur moi par hasard. Je recommençai à me détendre, bavardant avec mon amie du comique de cette situation, lorsque je sentis une présence juste derrière moi. Mon amie en était devenue pâle, et je croyais que c’étaient les gars de la sécurité qui nous avait repéré et qu’ils allaient nous flanquer à la porte. Mais ce sont deux yeux d’un bleu ciel que je n’avais encore jamais eu l’occasion de croiser qui me saluèrent poliment. Mon cœur fit un saut périlleux et je sursautai légèrement. Il en sourit. Je sentais le regard désorienté de mon amie dans mon dos, puis je l’entendis reculer et se diriger un peu plus profondément dans la foule. « Excusez-moi de vous avoir fait peur, cela n’était pas mon intention. » Sa voix. C’était le genre de voix qui donne confiance. On sait qu’il ne ment pas. On le croit sur parole sans hésiter une seconde. « Ca ne fait rien. Ce n’est pas bien grave, ne vous inquiétez pas pour ça. » Ma remarque le fit sourire, mais je ne sus distinguer de l’amusement de la sincérité. Peut-être un mélange des deux. « Je m’appelle Adonis. » Il me regarda intensément de ses deux perles bleues, attendant sans doute une quelconque réaction de ma part, ou plus simplement, que je me présente à mon tour. « Iseult. » dis-je dans la précipitation. Je sentais mes mains devenir moites, et je tentais de les sécher comme je le pouvais en les essuyant frénétiquement que ma robe. En vain. « Ravie de te rencontrer. Alors… hum, tu es nouvelle ici ? » Mon cerveau se mit en ébullition. Ce garçon me plaisait vraiment, mais comment lui dire que je vivais à L.A. depuis quatre ans dans un appartement loin de la villa qu’il devait posséder et de la montagne d’argent sur laquelle il devait s’assoir chaque matin. Il allait sans doute me rejeter. D’accord, c’était un peu stéréotype des riches de San Francisco que j’ai eu l’occasion de croiser dans ma vie, mais je n’avais pas envie de le voir s’éloigner à cause de mon statue. C’est ainsi que mon mensonge prit vit entre mes lèvres. « Oui. J’ai toujours rêvé de venir ici. Je viens de New York. Manhattan. Mais franchement je préfère déjà cette ville. » Je ne pus croire ce que je venais de dire. Manhattan. Et pourquoi pas Paris pendant qu’on y est ? Et Hawaï aussi. Je me sentais d’un ridicule. Et en plus je n’ai jamais été très bonne pour les mensonges. On les découvrait bien trop tôt à chaque fois. Pourtant, il ne semblait s’apercevoir de rien. « Eh bien. Tu as fait les extrémités à ce que je vois. » Le faisait-il exprès ? J’avais tellement l’impression que mon nez grandissait à vue d’œil comme ce pauvre Pinocchio, qu’il lui était impossible qu’il ne se rende pas compte que je venais d’inventer ce que je disais. Mais, contrairement à ce que je pensais, il me crut. Et nous continuâmes la conversation, lui faite de vérité, et moi de mensonges.

Mais je ne pouvais pas me voiler la face. Ce n’était pas avec mes ciseaux que j’allais continuer à faire des robes pour chaque occasion, je mettais trop enfoncée dans mon mensonge. Et c’est en lisant un article dans le journal qu’une idée m’est venu. Devenir une Sugar Baby. C’était simple. Il suffisait que je me trouve un Sugar Daddy, et il me donnait de l’argent. Ce n’était pas comme si j’étais une prostituée après tout. C’est donc un soir où je savais qu’il y avait une soirée pour les futurs Sugar Babies de trouver leur Daddies, que je rencontrai Zayne. C’est lui qui est venu me voir, et me proposer d’être sa Sugar Baby. Il n’avait pas fait comme la plupart des mecs ici, embarquer les filles pour coucher avec elle avant de leur dit ce qu’elles étaient devenues. Il me semblait qu’il était bon. Enfin. Avant que je découvre son don de s’amuser de n’importe situation. « Je m’appelle Iseult et… » Il m’interrompit sur le champ, levant sa main pour que je me taise. « J’ai cru comprendre que tu te prénommais Pumkine. » Flûte. J’avalai ma salive, avant de répondre. « Je déteste ce prénom. » Je cru voir un sourire amusé traverser ses lèvres à la vitesse de la lumière avant de prendre un air tout à fait sérieux. « Raison de plus pour que je t’appel ainsi. » Dès cet instant, je sentis que j’allais en voir de toutes les couleurs avec lui. Mais j’avais besoin de lui. Et inversement. Bien que ce fût pile le comportement d’enfants de riches que je ne supportais pas, je m’avançais au moins une fois par semaine dans la rue de Zayne pour l’accompagner à un quelconque repas de la haute société de L.A., ou lors d’un bal ou soirée. Ou alors je passais ma soirée avec lui, chez lui, à discuter et à essayer des robes qui me faisaient croire être une princesse. Un soir, alors que je me regardais dans le miroir vêtue d’une nouvelle robe pour une réception, Zayne entra en toquant furtivement à la porte. Au moins il n’avait pas le culot d’entrer sans frapper. « Tu peux entrer. » Ce qu’il fit. Je vis la porte s’ouvrir grâce au miroir à pied qui me faisait face, et je vis la silhouette du jeune homme se dessiner dans l’encadrement de la porte. Je vis ses yeux s’écarquiller et il s’arrêta net pour me contempler. Intriguée, je me retournai pour être face à lui. Il semblait déstabilisé. « Comment tu fais pour savoir mes mensurations ? Elle me va comme toutes les autres. » Il me regarda droit dans les yeux, se qui éveilla des frissons le long de ma colonne vertébral. Il avait parfois le regard vitreux, et parfois, comme ici, un regard étincelant qui me donnait l’impression d’être un joyau pour lui. Ce qui était absurde, pour moi. « Oh non. » J’haussai un sourcil. Bien sûr qu’elle m’allait. Elle était parfaitement à ma taille, comme toujours. Comme toutes les autres avant celle-ci. Il avança d’un pas, toujours en me regardant de haut en bas. « Les autres n’étaient que des haillons en comparaison. Elles te rendaient belle, mais pas autant que celle-ci. » Je déglutis bruyamment, sentant le rouge prendre possession de mes joues. Il planta son regard dans le mien. Il était tout à fait sérieux. « Mais, il manque quelque chose. » Il me quitta des yeux ce qui me permit de respirer un bon coup. Puis il attrapa une boite posée sur la commode à côté de lui – boite que je n’avais pas osé ouvrir – et me regarda à nouveau. « Tourne-toi s’il te plait. » Je ne fis rien les premières secondes, avant de lui obéir. Je le vis s’approcher de moi, j’entendis un cliquetis et le bruit sourd de la boite qu’il ouvrait. Puis, il regarda mon visage grâce au miroir, pour ensuite passer un somptueux collier autour de mon cou. J’en eu le souffle coupé. Je n’arrivais pas à y croire de porter d’aussi belles choses, même si j’en avais auparavant porté, mais là il avait mis le paquet. Il posa ses mains sur chacune de mes épaules, alors que je portais la mienne sur le collier. « Zayne… je. Je ne peux pas. Il est trop… » « Chut. Garde le Iseult. Il te fait ressembler à la belle Cendrillon, plus belle encore. » Je fixai son regard dans le miroir, le cœur battant la chamade comme jamais. « Comment m’as-tu appelé ? » fut la seule question que je pus sortir. L’entendre m’appeler Iseult pour la première fois me faisait chaud au cœur. C’est alors qu’il referma son visage, enleva ses mains de mes épaules. « Pumkine. Aller, dépêchons-nous si nous ne voulons pas être en retard. » Je fus surprise de la tournure des évènements, mais au final, c’était comme ça avec lui. La chanson « Hot’n’cold » lui irait comme un gant. D’abord noir, il passe au blanc sans prévenir, pour revenir au noir. Je finis donc par acquiescer, et le regarda tourner les talons et quitter la pièce. Je restai là quelques instants, avant de prendre deux poignées de ma robe, me retourner et le suivre, comme d’habitude.

Pourquoi suis-je obligée de tout compliquer ? Je ne sais absolument pas. En tout cas, il est certain qu’Adonis et Zayne m’attirent comme des aimants, et je ne sais pas comment me défaire de cette situation périlleuse. Il faudra que j’en quitte un. Mais lequel ? Ils m’apportent ce dont j’ai besoin, à leur manière. J’ai besoin d’eux. Je ne saurai choisir, sincèrement.

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