soclosetoyou

welcome to my life!

Deux mots et demi, c'était tout ce dont tu avais besoin, ces mots susurrés avec passion, avec tendresse.Ces mots qui signifiaient tant qu'ils se bloquaient dans ma gorge. J'étais trop lâche pour t'avouer qu'elle ne valait plus rien à mes yeux, qu'il n'y avait que ta présence qui comptait désormais. J'étais un homme après tout, j'avais mon honneur, et mes faiblesses, comme tous. C'est à ce moment là qu'un " si j'avais su " pu se lire doucement sur mes lèvres. Si j'avais su, je ne serais pas venue à ta rencontre, si j'avais su, je ne t'aurais jamais pris sous mon aile, si j'avais su...Je ne serais pas avec toi, dans ce lit, à contempler tes magnifiques courbes sous le clair de lune... Mais si j'avais su, j'aurais sans doute fait les choses autrement...

Mon nom est Hermès Logann O'Connell. Comme j'ai toujours préféré qu'on m'appelle Logan, je ne me présente jamais au nom d'Hermès, bien que quelques personnes, rares cependant, m'appelle toujours de la sorte, j'ai une grande préférence pour le deuxième prénom qu'on m'a donné. Avec la tête que j'ai, il est évident de savoir d'où je viens. Je suis british, bien entendu, et j'en ai bien l'air. Autant de par mon accent débile que par ma façon de gesticuler, ou par mon monde vestimentaire un peu... disons.. désordonné? Je suis né au coeur de la capitale anglaise dans une famille bourgeoise. Mes parents étaient tous deux à la tête d'une très grande entreprise et l'argent a toujours été omniprésent dans nos vies. En effet, dès mon tout jeune âge, je fus habitué au luxe et au cliché même de parents richissimes qui ne prennent pas le temps de s'occuper de leurs enfants.Enfant(s) parce que je fus l'aîné d'une horde de petits garnements. Enfin, une horde, c'est un peu trop exagéré. Disons que ma soeur et mon frère avait eu le don de semer la zizanie partout où ILS se trouvaient, tout simplement. Bien évidemment, comme mes parents étaient beaucoup trop occupés, les trois O'Connell ne se gênaient JAMAIS pour se tirer par les cheveux et faire les pires bêtises possibles. Et donc voilà à quoi se résumait mon enfance. Des parents absents, des conflits familiaux et un vide, omniprésent, au creux de mon estomac. Je n'ai jamais compris pourquoi mes parents avaient préféré le travail, l'argent et tous ces trucs superficiels à leurs propres enfants. Après tout, n'était-ce donc pas eux qui devaient s'assurer que notre vie serait agréable dès le début. Certes , aujourd'hui, je leur en veux encore, mais à quoi bon ruminer sur ce fait? Le passé restera toujours le passé quoique l'on dise, quoique l'on fasse, il restera inchangé à tout jamais...

andnomatterwhat

let me be your hero

Va-t-en, tant que tu le peux, tant qu'il me reste de la force pour ne plus te retenir. Je te tourne le dos, sans doute trop bouleversé pour affronter la vérité en face, tu es désemparé, file je te dis, file alors que je n'impose plus mes prunelles dans les tiennes, alors que je n'impose plus rien à ta vie... Pars, ne reste pas auprès de moi, à vivre cette relation malsaine qui nous a unis dès le début. Pars vivre ta vie, ta jeunesse éphémère. Fais les pires conneries, conduis-toi comme une délinquante, tout ce que tu veux.. Mais ne reste pas. Armes-toi de l'intelligence qui te définissait si bien avant toi, avant nous, avant notre histoire, tourne les talons et ne reviens plus...On doit s'oublier, on doit se perdre...

L'adolescence.. C'est une époque effervescente où l'on fait des découvertes pour une vie entière. Mon adolescente a été plutôt, maussade, disons le proprement. Disons simplement qu'au lycée, je n'étais pas très populaire. On me considérait comme un intello.. Alors que je ne l'étais pas. Et pour cause : j'avais un mal fou à avoir la moyenne dans presque tous mes cours. Presque.. J'étais doué en littérature et mes cours d'anglais m'apportaient beaucoup de A+. Ce n'était cependant pas suffisant pour mes chers parents qui, eux, voulaient sauver leur réputation. Jugeant que le lycée public n'était définitivement pas fait pour un fils aristocrate, ils m'envoyèrent dans un pensionnat mixte où je finis mes études avec des notes bien plus qu'acceptable. Mais ce pensionnat avait été le théatre de mes pires cauchemars. Loin de mes parents, loin de tous ceux que j'aimais, j'avais été une proie si facile. Ainsi donc à 14 ans, j'avais eu droit au fameux classique " tronche dans les toilettes ". À 15 ans, des élèves se sont mis à m'appeler Herpès, nom d'une maladie transmissible sexuellement. À 16 ans, la seule fille sur qui j'avais un béguin fou hurla devant tout le monde à quel point j'étais misérable et minable, à quel point je ne la méritais pas. Ouais, définitivement, le lycée n'a pas été de toute gaieté. J'aurais " zappé " volontairement cette partie si on m'en avait donné le pouvoir. Mais, d'un autre côté, je ne serais pas devenu ce que je suis devenu aujourd'hui et rien que pour ça, je ne changerais rien, rien du tout. Après cette période haute en couleur, je pris la décision d'aller étudier à Harvard. Une décision que mes parents approuvaient hautement, m'encourageant fortement à en faire les démarches. C'était étrange de voir mes parents aussi impliqués alors qu'auparavant, j'avais le même statut que notre chien " Stuart ", c'est-à-dire , figure abstraite. On s'occupait de me nourrir, de bien s'occuper de ma personne, mais ce n'était rien. Où était donc passé l'amour qu'était censé offrir tous les parents à leurs enfants? Mystère, envolé, disparu... C'était comme si un voile nous séparait, et qu'il m'était carrément impossible de le retirer.

Ce fut donc à mes dix-huit ans que je partis pour l'Amérique avec un grand " A ". Je croyais pas, en débarquant sur cette partie du globe, que ce serait complètement différent de Londres, ou du reste de l'Angleterre. Le choc fut toutefois brutal.. Les américains étaient bien pires que les anglais côté bonnes manières et je dus très vite me raviser dès mon entrée à Harvard afin de passer incognito. Ah! J'oubliais! Vous devez sans doute vous demandez quel cursus le beau Hermès a décidé de suivre pour quelques années, hem? Et bien non, ce n'est pas la grande littérature, mais bien architecte. Oh je vous entends penser tout haut. Qu'est-ce que j'aurais pu bien faire dans ce cours? C'est une chose que j'ai tout simplement omis de vous dire... Mais qui prend toute son importance là, maintenant. En effet, depuis mon tout jeune âge, je suis passionné par les immeubles, et les plus grands possibles. Qu'ils soient vieux.. ou bien modernes j'ai toujours admiré les œuvres de l'homme dans leur plus grande splendeur. Un de mes rêves, gamin, c'était de pouvoir créer un jour l'immeuble qui était juste à côté de mon pensionnat. C'était un grand édifice, majestueux, construit avec de la vieille pierre qui, à priori, ne semblait pas vraiment intéressant. Mais cet immeuble avait un cachet, un je-ne-sais-quoi qui avait fait des étincelles. Après cela, comme je vivais à Londres, je me perdais souvent à contempler d'autres édifices, petits ou grands, à juger de la qualité de la construction, de l'aspect externe etc ,etc... C'était une passion secrète, que j'avais toujours gardé enfoui de peur d'être jugé. Mes parents eux, étaient plus que ravis que je choisisse CE cursus plutôt qu'un autre parce qu'ils savaient que ça me rapporterait gros. Être architecte de nos jours est un métier bien plus payant qu'être médecin, vous savez..

Et par miracle, mes études à Harvard furent merveilleuses. J'étais enfin entouré d'amis, aimé par tous. On découvrait mon plein potentiel social, on me trouvait drôle, charmant, beau. Et plus ça allait, plus je collectionnais les filles, tentant de combler le vide que m'avait procuré mes années lycée. Et quand je fus enfin diplômé de l'une des plus prestigieuses universités du monde, ma vie ne changea pas. Je fis des plans de maison, MES maisons. Les demeures de mes rêves quoi.. Et je les fis construire à deux villes distinctes américaines, question de changer. Une à L.A la cité des anges et une à la Big Apple City. Ça me permettait, entre autres, d'avoir beaucoup plus de clients puisque ces villes étaient indéniablement peuplées. Ma vie était sensationnelle, et je ne manquais de rien. Argent, filles, gloire, beauté, je vivais le rêve américain sans me soucier de mon avenir. C'était fini les mauvaises années, elles étaient derrière moi. Logann fonçait tête baissée vers l'inconnu, avec une approche fougueuse qu'on ne lui reconnaissait pas. Bon sang, si seulement tout ça aurait duré.. Si seulement.

i'llbethereforyou

let me love you

Elle était belle cette femme qui me regardait, café en main, avec un sourire qui pourrait réchauffer le coeur de tous les hommes de cette terre. Une silhouette fine, un visage doux, elle avait tout pour me plaire. Elle s'avançait vers moi, je reculais de quelques pas, soudainement paniqué à l'idée qu'elle puisse vouloir me parler. Cette femme s'appelait Améthyste, une petite française pleine de joie qui ce jour-là, pour des raisons que j'ignore encore à ce jour, avait décidé de m'adresser la parole. On a fait connaissance, on s'est découvert des points en commun, on a ris, dégusté un bon café en racontant telles ou telles blagues, en se taquinant sur nos origines respectives, dû à cette haine inter-pays ancestrale qui perdurait avec les années. Et puis j'eus droit à un deuxième rendez-vous, puis un autre.. jusqu'à ce que j'arrive plus à les compter sur mes doigts. Améthyste était quelqu'un de bien, une simple journaliste terre à terre qui avait du coeur au ventre et qui me faisait vibrer. Tout était aller beaucoup trop vite. De rencontres à rencontres, on s'aimait, on s'embrassait, on se faisait l'amour comme deux amants enflammés, puis on se détestait, se querellait, se chamaillait, pour mieux se réconcilier. Améthyste a rapidement fait parti de ma vie sans que je ne puisse m'y opposer, comme si c'était ma destinée ou quelque chose dans le genre. Il allait donc de soit, après deux ans de relation amoureuse, que je la demande en fiançailles, devant ses parents, et les miens... Et oui, je les avais fait venir de ma petite Angleterre rien que pour l'occasion. C'était le moyen ultime de leur prouver que j'valais bien un petit quelque chose. Pourtant, en essayant de prouver au monde entier qu'on mène la vie parfaite alors que chaque jours , chaque minutes, chaque secondes nous rappelle la sensation d'être " vide ", je me suis oublier. Améthyste n'avait été ma fiancée que parce que je croyais que c'était LA bonne chose à faire.. Ô certes, l'amour y était pour beaucoup mais je n'avais pas l'impression d'être co complètement fou d'elle, je n'avais pas l'impression de planer sur un nuage, de la voir partout..même dans mes songes. C'est à partir de ce moment que je commençai à être infidèle, sans doute pour chercher l'étincelle que je n'avais jamais lorsque j'étais avec elle. Et c'est ainsi que m'est venu l'idée de devenir un sugar daddy.Je voulais savoir ce que ça faisait de vraiment chérir quelqu'un, de m'occuper d'une personne à part entière. Bien sûr, j'aurais très bien pu le faire avec ma fiancée, Améthyste, mais sa famille et son métier la rendait tout aussi aisée que moi, en gros elle était riche, et elle savait parfaitement ce qu'elle valait. Seulement, moi je ne le savais pas et j'avais besoin d'être aimé outre-mesure. Mais la complexité de mon âme est si contradictoire que je ne vous demanderai même pas de comprendre ne serait-ce qu'un peu, mes idées les plus sombres, saugrenues et quelques fois, je vous l'accorde, très idiotes.

Prends ma main .. Serre la fort, pour que ne plus jamais tu ne quittes mon esprit. Prouve-moi que j'ai toutes les bonnes raisons du monde de te voir, de t'admirer, de t'observer. Prouve-moi que je n'ai pas tord, tord de laisser tomber tout ceux auxquels je tenais rien que pour obtenir un esquisse de ton sourire....

Je ne sais pas trop comment j'en suis arrivé là. Jusqu'à quel point ma décadence s'est aggravée. N'avais-je donc point obtenu tout ce qu'un homme désirait dans la vie? N'avais-je donc pas été épanoui ces dernières années? Me mettre dans une pareille merde, un cercle vicieux, ce n'était pas mon genre et pourtant pourtant, sans crier gare, je me suis retrouvé avec ce monstrueux problème qui me suit partout, qui me colle à la peau. Je crois savoir tout d'où ça a commencé. Je comprend mais je ne veux rien voir, rien entendre. Car tout ça était en vérité, mon entière faute. Ça a parti d'un vide, d'un rien, à combler, une partie de moi qui jusqu'ici ne s'était pas révélée, puis un morceau d'un casse-tête de 5000 pièces introuvable. Je ne savais pas ce qui m'avais pris d'aller à cette soirée controversée. Qu'est-ce que j'allais vraiment y trouver? Des petites salopes qui ne rêvent que de se taper un mec que pour le fric, des shootées, des junkies, des alcolos? Qu'est-ce que je faisais ici, à tourner en rond, les mains dans les poches, à contempler le sol tant j'avais honte d'avoir oser venir entre ses murs. Elle avait bu ce soir-là, j'avais vu en elle la parfaite sugar baby. Elle était belle, vraiment divine, mêm dans cet état presque comateux. Elle avait ce petit quelque chose qui me faisait chavirer, qui me donnait envie de l'aider, de faire partie intégrante de sa vie.. Alors sans attendre, je l'ai amené jusque chez moi et nous nous étions délectés du plaisir charnel. Sa chair sur la mienne, j'avais enfin cet impression de vertige lorsqu'on ne fait qu'un avec sa partenaire. Et le lendemain, pour la récompenser de cette nuit mémorable , je lui laissai une carte de visite et de l'argent, une bonne liasse oserais-je dire même. Bien évidemment, ce petit don n'avait rien eu pour lui plaire et elle sortit tout aussitôt son caractère de cochon en me balançant qu'elle n'avait rien d'une prostituée. Pourtant, après une longue conversation, et beaucoup de patience, elle finit par accepter la liasse en poussant un long et douloureux grognement. Et c'est ainsi que notre histoire commença, pour le meilleur, ou pour le pire...

Je tâchais de jouer la carte du parfait petit fiancé avec Améthyste alors que le coeur n'y étais plus. À bout de nerfs, et de non solution au problème, je voulus lui faire un enfant. Sombre idiot que j'étais! N'était-ce donc pas vrai que la venue au monde d'un enfant, parfois aggravait la situation d'un couple? Pourtant, je croyais fermement que mon amour pour cette femme que j'allais éventuellement marier grandirait. Mais près plusieurs mois d'essais qui s'étaient avérés peu fructueux, je me tournai vers ELLE. Réticente , et ô combien ce fut normal, elle me refusa d'office. Pourtant, quand je voyais Yûki, j'avais le coeur qui battait la chamade et qui s'emballait à un tel point que j'avais l'impression qu'il éclaterait dans ma poitrine. C'était peut-être pour cette raison que je ne voyais qu'elle pour être la mère de mon bébé. Parce qu'elle cadrait dans ce rôle, parce qu'elle était parfaite pour ça...Je n'oserai cependant jamais avouer qu'il y a bien plus que de l'attirance dans toute cette histoire. Quelque chose, tout au fond de mon coeur, me dit que c'est la femme de mes rêves, que je dois laisser tomber Améthyste et tous mes rêves rien que pour la beauté de ses yeux. Suis-je tombé amoureux de ma sugar baby. NON! Impossible...

10secretsfromme

oh! you're so delicious

1. Je suis riche à craquer, mais pas superficiel pour autant. En effet je suis de type humble, très simple. Je ne m'habille jamais élégamment, j'adopte le jeans troué et les chemises à carreaux. 2. J'ai pour sugar baby, Prune et je ne comprends pas exactement pourquoi je tiens tant à elle. En fait, je ne comprends pas qu'en fait, je suis tombé complètement fou amoureux d'elle.
3. Ma fiancée n'a absolument eu aucun vent de mes infidélités et je ne sais pas de quoi sera fait notre avenir amoureux. Je sais seulement une chose : je ne suis pas aussi amoureux d'elle qu'autrefois. Mais quelque chose, dont je ne saurai définir, me retient à ses côtés. Est-ce la peur de se retrouver seul? Ou de perdre une amitié solide? 4. Je fume depuis que j'ai l'âge de 18 ans. Et tout le monde m'appelle parfois la cheminée. Je sais très bien que c'est bizarre qu'un mec comme moi trouve un certain réconfort dans cette forme de suicide mais, c'est une habitude que pour l'instant, je n'ose pas changer. 5. Avant de faire des études en architecture à Harvard, j'ai rêvé d'être un écrivain célèbre. Je dois avoir une bonne centaine d'histoire non terminées au fond de mon bureau. Un jour, qui sait, j'oserai enfin y apposer une fin grandiose. J'ai laissé de coté mon rêve pour faire plaisir à mes parents, en grande partie.
6. J'ai un frère et une soeur. J'aime bien ma soeur mais je ne supporte absolument pas mon frère qui est complètement superficiel et insensible. 7. Je suis quelqu'un qui a tendance à surprotéger ceux que j'aime, dont Prune, avec qui je suis encore plus possessif que ma fiancée.
8. J'ai une très faible estime de moi et je parle très peu. Je n'aime pas ouvrir la bouche pour un rien, je pèse toujours mes mots et j'ai un sens aiguisé de la diplomatie. 9. Mais je pousse sans cesse des jurons lorsque quelque chose m'énerve et je dois l'avouer, il m'arrive d'être plus qu'impulsif.
10. J'ai rarement usé de la force pour faire comprendre mon point de vue, mais avec Prune, et ce sentiment incompréhensible, je pourrais tout aussi bien me bagarrer avec un inconnu s'il oserait lui toucher ne serait-ce qu'un cheveu.

BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII[...]IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEVENUE =D
Bonne chance pour le reste de ta fiche =D Et si tu as la moindre question je suis là
Et moi aussi je te n'aime déjà

En même temps ils sont juste magnifiques tes avatars
J'attends alors avec impatience que tu me bombardes ma boîte à MP =D
Shine, je suis aussi contente que toi quand il y a eut Nate =P

Bien sur pour le lien (a) et oui je sais prune ♥

BIENVENUE
(oui oui c'est le chéri à Prune, mais j'ai encore le droit de fantasmer dessus ! )
Bonne continuation pour ta fiche
Manque plus que Zayne & Adonis fassent leur apparition pour que toutes les admins soient comblées de bonheur (a)

Justement je voulais te harceler pour en avoir un, ça tombe bien *air innocente*

C'est pas banal ce que tu fais c'est magnifique
Euh non j'en ai pas =S et là je suis en pleine recherche d'icons x)